Le titre de 1979
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vostokfred67810 a écrit, le 02/05/2024 07:51 :
Ce reportage est une pépite. Je l'adore
il ne manque que Freddie Mercury.
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What ?
Même pas un fdp dans cette dream team ? -
Exact mais l’équipe tournait principalement sur 13 joueurs, il a quand même joué plus de 1000 minutes, plutôt pas mal d’ailleurs dans mes souvenirs.
Moins vif que nos autres attaquants mais il apportait de la puissance. -
Le Tchad était encore une colonie française à l'époque.........ou presque.superdou a écrit, le 03/05/2024 11:24 : frollo a écrit, le 02/05/2024 09:48 : Equipe 100 % française à l'époque
Toko était français ? O:) -
en tout cas, je crois bien qu'il y a 2 "M" à Gemmrich non ?
c'est "rigolo" de râler sur un truc avec une faute énorme... -
Pour rappel: il suffisait d'un nul à Lyon pour être champion ...et le Racing gagne 0-3!
Aujourd'hui, il suffisait d'un nul au Havre pour se maintenir ...et le Racing perd 3-1...
Il n'y a plus que le mot Racing qui subsiste, on se demande pourquoi, parce que pour le reste... -
Intéressante présentation qui insistait déjà sur l'exceptionnelle valeur de ces récentes recrues (Novi, Piasecki, Domenech, Jouve), des éléments majeurs du football français des années 1970 sans lesquels ce Racing alsacien ne serait peut-être pas allé au bout.
Mais on préfère seriner le mythe du Racing alsacien. Une ossature locale certes qui avait plusieurs années en commun, renforcée par des joueurs de haut niveau ayant lutté pour le titre (Novi, Jouve), porté le brassard de l'OL ou montré des promesses comme Piasecki. On peut ajouter Vergnes arrivé en 1977 précédé d'une réputation de terreur des surfaces. -
Quel est le journal qui a pu écrire Strasbourg (RFA) et l'allemand Gemmrich?
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La remontée du topic m'a permis de retrouver cette perle.@kitl a écrit : Mais on préfère seriner le mythe du Racing alsacien.
Le mythe ? tu ferais mieux de consulter un site que tu connais un peu je crois...
Avec 6 joueurs nés en Alsace parmi les 13 joueurs les plus utilisés ?
Et en plus un Tanter arrivé à 16 ans et qui n'en repartira plus, un Dugué arrivé à 25 ans et qui n'en repartira plus non plus ?
Et avec 6 autres joueurs nés en Alsace (oui 6) et qui sont entrés sur le terrain lors de cette merveilleuse saison ?
Donc en tout 12 joueurs nés en Alsace (et je laisse de côté des historiques comme Tanter et Dugué) qui ont porté les couleurs du Racing cette année là.
Et pour couronner le tout un entraîneur alsacien.
Donc mythe c'est juste nier la réalité, évidemment qu'il y a eu d'autres joueurs importants, Piasecki en premier sans qui impossible de devenir champion (tiens lui aussi est resté en Alsace jusqu'à sa disparition).
Ce n'est pas parce que tu ne l'as pas vécu qu'il faut essayer de rabaisser ce qui s'est passé dans ces années là.
Quand je le vivais, je savais que c'était une période exceptionnelle qui ne se reproduirait plus et qu'il fallait faire le plein de toutes les émotions liées à ce titre et ce qui l'entourait, cette déflagration régionale quand ils sont revenus de Lyon.
Mais je ne rêve pas et je ne ressasse pas, je prends la réalité telle qu'elle est depuis ces années sans perdre ma passion. -
C'est bien dit clutch. et on sent la passion. après, c'était clairement une autre époque je pense que plus aucune équipe au monde ne peut fonctionner avec un tel schéma. j'ajouterais : malheureusement.
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gohelforever a écrit, le 02/06/2024 11:17 : C'est bien dit clutch. et on sent la passion. après, c'était clairement une autre époque je pense que plus aucune équipe au monde ne peut fonctionner avec un tel schéma. j'ajouterais : malheureusement.
Je souscris entièrement à tes propos et à ceux de clutch.
Quand on parle d'identité alsacienne, l'équipe de 79 l'affichait à l'évidence. Aujourd'hui, l'effectif a le même profil que toutes les autres équipes du championnat. Et en plus, administrativement, l'Alsace n'est même plus une région à part entière...
J'ai toujours du mal à croire qu'aujourd'hui, il n'existe plus aucun Wagner, Gemmrich, Specht, Ehrlacher, Marx ou Deutschmann capable d'intégrer l'équipe pro du Racing et que le club, comme tous les autres, continue de recruter en Afrique ou au Brésil...
Le rêve était devenu réalité en 79. Je regrette simplement qu'à la suite du "divorce" entre Gress et Bord, ce titre n'ait pas eu de petit frère. Strasbourg aurait pu figurer durablement en haut de tableau, à l'instar de Saint-Etienne ou Bordeaux plus tard. Mais comme on dit, on ne peut pas refaire l'histoire... -
gohelforever a écrit, le 02/06/2024 11:17 : C'est bien dit clutch. et on sent la passion. après, c'était clairement une autre époque je pense que plus aucune équipe au monde ne peut fonctionner avec un tel schéma. j'ajouterais : malheureusement.
Et pourtant si : l'Athletic Club de Bilbao. Un miracle permanent -
Oui c’est vrai
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Oui je sais qu'il a longtemps fonctionné sur ce schéma. je ne savais plus si c'est toujours le cas aujourd'hui. C'est bien connu le basque est fort et autonome.. alors que l'Alsace c'est comme les toilettes : c'est toujours occupé...
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echouafni a écrit, le 02/06/2024 17:16 : gohelforever a écrit, le 02/06/2024 11:17 : C'est bien dit clutch. et on sent la passion. après, c'était clairement une autre époque je pense que plus aucune équipe au monde ne peut fonctionner avec un tel schéma. j'ajouterais : malheureusement.
Et pourtant si : l'Athletic Club de Bilbao. Un miracle permanent
La Real Sociedad a aussi toujours ce fort ancrage régional, non ? -
gohelforever a écrit, le 02/06/2024 21:38 : Oui je sais qu'il a longtemps fonctionné sur ce schéma. je ne savais plus si c'est toujours le cas aujourd'hui. C'est bien connu le basque est fort et autonome.. alors que l'Alsace c'est comme les toilettes : c'est toujours occupé...
Dixit Tomi Ungerer sauf erreur
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Pays Basque : 4,5 % du territoire national espagnol. Moins de 3 millions d’habitants répartis en 4 provinces. Et cependant pour le foot : 75000 licenciés, 4 clubs en Liga (Ligue 1) et deux en Liga Adelante (Ligue 2), Il y a quatre ans un quart des clubs évoluant en Liga étaient basques (5 sur 20). Cela est dû à une forte identité régionale, à une collaboration étroite entre clubs amateurs et clubs pros lesquels soutiennent budgétairement les premiers. Parmi les entraîneurs les plus connus issus d’Euskadi, on trouve Iraola (Bournemouth), Alonso (Bayer Leverkusen), José Mendilibar (Olympiakos, ex-FC Séville), Valverde (Athletic), Alguacil (Real Sociedad), Arrasate (Osasuna). Les ingrédients basiques : pas de pression du résultat immédiat et se donner du temps. Les joueurs qui n’arrivent pas à percer durablement chez les pros se reversent quasi automatiquement en tant qu’entraîneurs. L’environnement économique est sain. Les relations aux médias discrètes. Rien à voir avec le Barca, le Real, Valence ou les Séville.
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J'ai toujours du mal à discerner les relans panalsatiques du souhait de développement local.
Pour ce dernier, effectivement, il semble que les liens entre les clubs amateurs et le Racing soient maigres. Le plus souvent, il me semble qu'on assiste plus à un pillage impérial en règle du vivier territorial par le Racing, des féminines aux masculines, similaire à ce que fait le Bayern en bundesliga, au Lyon des années 2000 en ligue 1, qu'à un véritable partenariat à des fins de développer le football local. -
Le Supporter Club de Gilbert Gress organise une soirée avec les Champions de France 1979 ce samedi 8 juin à partir de 17h30 avec l'A.S.Bischoffsheim
https://facebook.com/events/s/soiree-avec-les-champions-de-f/837709098199373/
Inscription gratuite : https://www.helloasso.com/associations/association-sportive-de-bischoffsheim/evenements/anniversaire-champions-de-france-79
:)
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